
Une chronique de Jacques. Avec Maurice Gouiran (l’Espagne de Franco puis l’Argentine des colonels) et André Fortin (la dictature grecque), une fois de plus les éditions Jigal nous proposent, avec les violents de l’automne de Philippe Georget, un polar ayant pour toile de fond un aspect de notre histoire contemporaine. Après le beau succès de son roman Le Paradoxe du cerf-volant, âpre polar noir qui faisait resurgir la guerre dans les Balkans et les années 1990 dans notre époque, Philippe Georget réitère le même procédé en changeant de période : il met en...