
Une chronique de Jacques Philippe Georget aime le changement. Après un roman noir qui a rencontré un beau succès ( Le paradoxe du cerf-volant ), puis un polar ( Les violents de l’automne ), il nous propose avec son dernier né un roman qui s’inscrit dans la veine du livre de Preston & Child , publié en France en 2012 : Les sortilèges de la cité perdue . Cependant, même si les thèmes sont proches, il reste tout de même des différences notables entre Preston & Child et Georget : ce dernier s’intéresse trop aux problèmes de notre...