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Une chronique d’ Albertine .   L’écriture rapide, sèche, nerveuse, de Gilles Vincent  soutient parfaitement son propos : une histoire de guerre, incompréhensible pour Antoine et qui finira mal pour lui, un manteau d’oubli de quarante ans et une résurgence violente, qui en 48 heures, va dévaster plusieurs vies. Nous débarquons en 1960 dans la guerre d’Algérie, aux côtés d’un soldat perdu, Antoine Berthier qui, soutenu par ses copains et gradés, va tenter d’accomplir sa vocation de soldat. Sa courte vie se terminera sans préavis et ouvrira une période de quarantaine,...

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