15/05/2017
De cauchemar et de feu, de Nicolas Lebel

Une chronique de Cassiopée Un week-end pascal de feu… et de sang… Il s’appelle Mehrlicht, un nom aussi difficile à écrire qu’à prononcer. Un nom qui évoque Goethe et ses derniers mots, un nom qui appelle la lumière, celle de l’esprit. Est-ce pour cela qu’il a choisi de travailler dans la police ? Espérant trouver les réponses, là ou les autres buttent ? Cet homme, c’est une longue histoire. Il fume, il est laid, il est plus souvent désagréable que sympathique mais avec ses méthodes, parfois bizarres ou douteuses, son parler franc et son érudition à faire...