09/09/2014
La patience du diable, de Maxime Chattam

Une chronique de Paco. L'introduction est lancée à pleine vitesse, comme le TGV dans lequel nous nous trouvons. Impuissants, nous sommes face à un carnage, un foutu carnage perpétré par deux ados qui ont clairement pété un câble. Reste à savoir pourquoi. Maxime Chattam nous introduit dans son roman avec fracas, violence et terreur. Le ton est donné, l'auteur, tel un chef d'orchestre, achève sa partition je suppose avec délectation; la musique va être violente et brutale ! Il faut dire que l'auteur n'a plus grand chose à prouver avec son style...