
Une chronique de Bruno Pour celles et ceux qui aiment les privés. [...] Quand une jolie fille en détresse crie au secours ... Sympathique polar que celui du québecois Maxime Houde : La misère des laissés-pour-compte qui nous emmène à Montréal au tout début des années cinquante pour un double dépaysement. Avec tout d'abord celui de la langue fleurie de nos cousins d'outre-Atlantique qui moppent le plancher ou qui sont parfois dans le trouble lorsque la brunante envahit le quartier. Et puis avec l'ambiance des polars de ces années-là...