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Une chronique de Jacques Lors de la lecture, voici deux ans déjà, du premier roman d’Emmanuel Grand Terminus Belz , j’avais été séduit par la musique de ses mots et le rythme de ses phrases, une mélodie obsessionnelle qui m’avait hanté bien après que j’eus refermé le livre. Ces qualités se conjuguaient avec un sens de l’intrigue et des personnages forts qui rendaient ce polar ilien et breton particulièrement attachant. Changement de décor pour son deuxième roman, puisque l’auteur nous entraine à Wollaing, entre Douai et Valenciennes, dans une région...

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