28/01/2014
Terminus Belz, d’Emmanuel Grand

Une chronique de Jacques Les iliens et la mort qui rôde... On reconnait un véritable auteur à la petite musique de ses mots, au rythme de ses phrases, à la mélodie obsessionnelle qui vous hante et vous poursuit pendant des heures ou des jours une fois le livre refermé. Parfois, il s’agit de toute autre chose : l’émergence d’un univers personnel unique, original, qui tranche sur la production littéraire habituelle. Dans le genre polar ou noir , le lecteur est plutôt en attente d’autres qualités : sens de l’intrigue, personnages forts, qualités...