04/06/2018
Sur un mauvais adieu, de Michael Connelly

Une chronique de Cassiopée Moi, je l’aime bien Harry Bosh. C’est un vieil ami à moi car je le connais depuis ses débuts ou presque. Parfois, il vieillit mal et se lance dans des histoires hautement improbables mais je lui pardonne et je reviens vers lui. Cette fois-ci, ce n’est pas mal, et c’est surtout bien écrit et bien traduit (comme d’habitude par Robert Pépin et je me demande s’il ne finit pas par ressembler à Michael Connelly à force de reproduire ses écrits…). Bref, revenons à Harry. Après sa retraite, il est devenu inspecteur de réserve. Cela lui...