
Une chronique de Paco . C’est dans un froid polaire quelque part en Europe de l’Est, à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie, que Bernard Minier nous fait entrer dans son roman. Une ouverture, une petite brèche, que nous profitons d’emprunter afin de suivre les pas de Martin Servaz, ce flic intuitif que nous avons appris à connaître en dévorant les deux premiers romans de l’auteur. Nos pas craquent dans la neige gelée derrière ceux du flic et après quelques mètres parcourus nous nous arrêtons net ; Martin Servaz est entré dans cette cabane perdue au milieu de...