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Une chronique de Cassiopée     Sombre et très noire, comme la couverture du livre, cette histoire est portée par une écriture surprenante au premier abord. Alternant le « je » d’un des principaux protagonistes et la troisième personne du singulier pour évoquer d’autres faits, l’auteur nous emmène dans un univers restreint, celui de quelques familles dans une campagne plutôt perdue, ce que certains nomment « le trou du cul du monde ».  Paulin raconte avec ses mots et son vocabulaire d’adolescent. Il rentre au village car c’est la fin de l’année scolaire. Ses parents ?...

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