07/04/2015
Trait bleu, de Jacques Bablon (chronique 2)

Une chronique de Jacques . Trait bleu, un roman (presque) noir... Ce bref roman de 150 pages, je l’ai reçu comme un uppercut, un choc en pleine poire. Il a constitué un mélange détonnant avec le dernier (bon) roman de Stephen King que je venais de terminer, Mr. Mercedes . King est un bavard si impénitent que son plaisir de raconter une histoire le pousse à des digressions pas forcément indispensables. Un défaut que je lui pardonne volontiers : il a une telle maitrise de la narration qu’il serait capable d’introduire du suspense avec un personnage...