violence d'état, andré blanc

  Une chronique de Cassiopée . Farel  est un homme aux mille facettes et aux multiples vies. Plus je le découvre, plus il me fascine. Il montre une force de caractère peu commune, une façon d’être à la fois très tendre et parfois si violente, sans état d’âme lorsqu’il pense toucher le mal dans sa profondeur. Complètement insaisissable et pourtant il emplit le roman, vous prend par la main et ne vous lâche plus.  C’est lui qui donne vie aux pages et parce qu’on s’attache à ses pas, on veut aller plus loin à ses côtés. Alors, on se prend à écouter ce qu’il ne dit...

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